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chanson française ]
Víctor Pedrol 1a. edició, primavera 2014, Sabadell
edició: La Diatònica, associació d’acordionistes dels Països Catalans
portada: Albert Nardi
aquest treball es troba sota la següent llicència creative commons
aquest treball és d’ús intern i pedagògic per qualsevol comentari ens trobareu a [email protected]
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índex
Ah! le petit vi blanc – Lina Margy ....................................................................................................... 4 Il est trop tard – Georges Moustaki ................................................................................................... 6 Indifférence – valse musette ................................................................................................................. 7 Java musette – tradicional ..................................................................................................................... 9 Je me suis fait tout petit – Georges Brassens .............................................................................. 10 La java bleue – Fréhel ........................................................................................................................... 11 La mauvalse réputation – Georges Brassens .............................................................................. 14 La marine – Georges Brassens .......................................................................................................... 15 La mer – Charles Trenet ...................................................................................................................... 17 La vie en rose – Edith Piaf ................................................................................................................... 18 Le métèque – Georges Moustaki ...................................................................................................... 21 Les feuilles mortes – Yves Montand ............................................................................................... 22 Ma liberté – Georges Moustaki ......................................................................................................... 24 Marinette – Georges Brassens .......................................................................................................... 25 Ne me quitte pa – Jacques Brel ......................................................................................................... 26 Non, je ne regrette rien – Édith Piaf ............................................................................................... 27 Nous sommes deux – Georges Moustaki ...................................................................................... 29 Que nadie sepa mi sufrir – Ángel Cabral ...................................................................................... 31 Padam, Padam – Édith Paif ................................................................................................................. 33 Sous le ciel de Paris – Édith Paif ....................................................................................................... 36 Sous les ponts de Paris – André Claveau ...................................................................................... 38 Tous les garçons et les filles – Françoise Hardy ........................................................................ 39 Willkommen, Bienvenue, Welcome – Cabaret ........................................................................... 41
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Ah! le petit vi blanc – Lina Margy
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Il est trop tard – Georges Moustaki
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Indifférence – valse musette Joseph Colombi & Tony Muréna, 1942
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Java musette – tradicional
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Je me suis fait tout petit – Georges Brassens Je n'avais jamais ôté mon chapeau Devant person... Maintenant je rampe et je fait le beau Quand ell’ me sonne. J'étais chien méchant...ell’ me fait manger Dans sa menotte. J'avais des dents d’ loup… je les ai changées Pour des quenottes ! Je me suis fait tout petit devant un’ poupée Qui ferm’ les yeux quand on la couche, Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée Qui fait « maman » quand on la touche. J'étais dur à cuire elle m'a converti, La fine mouche, Et je suis tombé, tout chaud, tout rôti, Contre sa bouche Qui a des dents de lait quand elle sourit, Quand elle chante, Et des dents de loup quand elle est furi’, Qu'elle est méchante. Je me suis fait tout petit devant un’ poupée Qui ferm’ les yeux quand on la couche, Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée Qui fait « maman » quand on la touche. Je subis sa loi, je file tout doux Sous son empire, Bien qu'ell’ soit jalouse au-delà de tout, Et même pire... Une jolie pervenche qui m'avait paru Plus joli’ qu'elle, Un’ joli’ pervenche un jour en mourut A coup d'ombrelle.
Je me suis fait tout petit devant un’ poupée Qui ferm’ les yeux quand on la couche, Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée Qui fait « maman » quand on la touche. Tous les somnambules, tous les mages m'ont Dit, sans malice, Qu'en ses bras en croix je subirais mon Dernier supplice… Il en est de pir’s, il en est de meilleurs, Mais, à tout prendre, Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs… S'il faut se pendre. Je me suis fait tout petit devant un’ poupée Qui ferm’ les yeux quand on la couche, Je m’ suis fait tout p’tit devant un’ poupée Qui fait « maman » quand on la touche.
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La java bleue – Fréhel
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La mauvalse réputation – Georges Brassens a- Au village, sans prétention, e7 a- j'ai mauvaise réputation. qu'je m'démène ou qu'je reste coi e7 a- je pass' pour un je-‐ne-‐sais-‐quoi! f e7 Je ne fait pourtant de tort à personne f e7 en suivant mon chemin de petit bonhomme. Mais les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux, non les brav's gens n'aiment pas que l’on suive une autre route qu'eux. Tout le monde médit de moi, sauf les muets, ça va de soi. Le jour du Quatorze Juillet je reste dans mon lit douillet. La musique qui marche au pas, cela ne me regarde pas. Je ne fais pourtant de tort à personne, en n'écoutant pas le clairon qui sonne. Mais les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux, non les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux, Tout le monde me montre du doigt sauf les manchots, ça va de soi.
Quand j'croise un voleur malchanceux, poursuivi par un cul-‐terreux; j'lance la patte et pourquoi le taire, le cul-‐terreux s'retrouv' par terre je ne fait pourtant de tort à personne, en laissant courir les voleurs de pommes. Mais les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux, non les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux. Tout le monde se rue sur moi, sauf les culs-‐de-‐jatte, ça va de soi. Pas besoin d'être Jérémie, pour d'viner l'sort qui m'est promis, s'ils trouv'nt une corde à leur goût, ils me la passeront au cou. Je ne fait pourtant de tort à personne, en suivant les ch'mins qui n'mènent pas à Rome, Mais les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux, non les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux. Tout l'mond' viendra me voir pendu, sauf les aveugles, bien entendu.
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La marine – Georges Brassens
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A- G On les retrouve en raccourci F A- Dans nos petits amours d'un jour, G Toutes les joies, tous les soucis, F A- Des amours qui durent toujours A D- C'est là le sort de la marine G7 C Et de toutes nos petites chéries. A- D- On accoste, vite un bec, F E7 Pour nos baisers, le corps avec! Et les joies et les bouderies, Les fâcheries, les bons retours, On les retrouve en raccourci Dans nos petits amours d'un jour. On a ri, on s'est baisé, sur les neunoeils, sur les nénés, Dans les cheveux à pleins bécots Pondus comme des oeufs, tout chauds!
Tout ce qu'on fait dans un seul jour Et comme on allonge le temps, Plus de trois fois dans un seul jour, Content, pas content, content! Y a dans la chambre une odeur D'amour tendre et de goudron. Ça vous met la joies dans le coeur La peine aussi et c'est bon. On n'est pas la pour causer, Mais on pense même dans l'amour On pense que demain y fera jour Et que c'est une calamité. C'est là le sort de la marine, Et de toutes nos petites chéries, On accoste mais on devine Que ça sera pas le paradis! On aura beau se dépécher Faire bon dieu, la pige au temps, Et le bourrer de tous nos péchés Ça ne sera pas ça et pourtant... Toutes les joies, tous les soucis, Des amours qui durent toujours, On les retrouvent en raccourci F E7 A- Dans nos petits amours d'un jour.
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La mer – Charles Trenet
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La vie en rose – Edith Piaf
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Des nuits d'amour à n’en plus finir, Un grand bonheur qui prend sa place, Les ennuis, les chagrins s'effacent, Heureuse, heureuse à en mourir
Quand il me prend dans ses bras, Qu'il me parle tout bas, Je vois la vie en rose. Il me dit des mots d'amour, Des mots de tous les jours, Et ça me fait quelque chose. Il est entré dans mon coeur Une part de bonheur Dont je connais la cause. C'est lui pour moi, moi pour lui dans la vie. Et, dès que je l'aperçois, Alors, je sens en moi Mon coeur qui bat.
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Le métèque – Georges Moustaki
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Les feuilles mortes – Yves Montand
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Ma liberté – Georges Moustaki
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Marinette – Georges Brassens
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Ne me quitte pa – Jacques Brel
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Non, je ne regrette rien – Édith Piaf
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Nous sommes deux – Georges Moustaki
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Que nadie sepa mi sufrir – Ángel Cabral La versió en francès és coneguda com La Foule, interpretada per Édith Piaf el 1957
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Je revois la ville en fête et en délire Suffoquant sous le soleil et sous la joie. Et j'entends dans la musique les cris, les rires Qui éclatent et rebondissent autour de moi Et perdue parmi ces gens qui me bousculent Étourdie, désemparée, je reste là. Quand soudain je me retourne, il se recule Et la foule vient me jeter entre ses bras Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne Écrasés l'un contre l'autre Nous ne formons qu'un seul corps Et le flot sans effort Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre Et nous laisse tous deux Épanouis, enivrés et heureux Entraînés par la foule qui s'élance Et qui danse Une folle farandole Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés Nos deux corps enlacés s'envolent Et retombent tous deux Épanouis, enivrés et heureux Et la joie éclaboussée par son sourire Me transperce et rejaillit au fond de moi. Mais soudain je pousse un cri parmi les rires Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne Nous éloigne l'un de l'autre. Je lutte et je me débats Mais le son de sa voix S'étouffe dans les rires des autres. Et je crie de douleur, de fureur et de rage Et je pleure Entraînée par la foule qui s'élance Et qui danse Une folle farandole Je suis emportée au loin Et je crispe mes poings Maudissant la foule qui me vole L'homme qu'elle m'avait donné Et que je n'ai jamais retrouvé
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Padam, Padam – Édith Paif
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Cet air qui m'obsède jour et nuit Cet air n'est pas né d'aujourd'hui Il vient d'aussi loin que je viens Traîné par cent mille musiciens Un jour cet air me rendra folle Cent fois j'ai voulu dire pourquoi Mais il m'a coupé la parole Il parle toujours avant moi Et sa voix couvre ma voix Padam...padam...padam... Il arrive en courant derrière moi Padam...padam...padam... Il me fait le coup du souviens-toi Padam...padam...padam... C'est un air qui me montre du doigt Et je traîne après moi comme un drôle d'erreur Cet air qui sait tout par cœur Il dit: "Rappelle-toi tes amours Rappelle-toi puisque c'est ton tour 'y a pas d'raison pour qu'tu n'pleures pas Avec tes souvenirs sur les bras... " Et moi je revois ceux qui restent Mes vingt ans font battre tambour Je vois s'entrebattre des gestes Toute la comédie des amours Sur cet air qui va toujours Padam, padam, padam...
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Sous le ciel de Paris – Édith Paif
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A-‐ Sous le ciel de Paris D-‐ D-‐/C B-‐7(b5) F6/A S'envole une chanson, hmm, hmm E7 Elle est née d'aujourd'hui A-‐ D-‐ C6 E7 Dans le coeur d'un garçon. A-‐ Sous le ciel de Paris D-‐ D-‐/C B-‐7(b5) F6/A Marchent des amoureux, hmm, hmm E7 Leur bonheur se construit A-‐ D-‐ A-‐ Sur un air fait pour eux. D-‐ Sous le pont de Bercy G7 C6 Un philosophe assis F D-‐ B-‐7(b5) Deux musiciens, quelques badauds E E7 Puis des gens par milliers. A-‐ Sous le ciel de Paris D-‐ D-‐/C B-‐7(b5) F6/A Jusqu'au soir vont chanter, hmm, hmm E7 L'hymne d'un peuple épris A De sa vieille cité. E7 Près de Notre-‐Dame E-‐7 A7 Parfois couve un drame D Oui, mais à Paname D-‐ Tout peut s'arranger. A C#7 F#-‐ Quelques rayons du ciel d'été C#7 F#-‐ E7 A L'accordé -‐ on d'un marinier B-‐7 A A#(dim) L'espoir fleurit E E7 Au ciel de Paris.
Sous le ciel de Paris Coule un fleuve joyeux, hmm, hmm Il endort dans la nuit Les clochards et les gueux. Sous le ciel de Paris Les oiseaux du Bon Dieu, hmm, hmm Viennent du monde entier Pour bavarder entre eux. Et le ciel de Paris A son secret pour lui Depuis vingt siècles il est épris De notre île Saint-‐Louis. Quand elle lui sourit Il met son habit bleu, hmm, hmm Quand il pleut sur Paris A-‐ C'est qu'il est malheureux... A-‐ Quand il est trop jaloux D-‐ D-‐/C B-‐7(b5) F6/A De ses millions d'amants, hmm, hmm E7 Il fait gronder sur nous A-‐ Son tonnerre éclatant. A-‐ Mais le ciel de Paris D-‐ D-‐/C B-‐7(b5) F6/A N'est pas longtemps cru -‐ el, hmm, hmm E7 Pour se faire pardonner A-‐ G6 A-‐ Il offre un arc-‐en-‐ciel.
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Sous les ponts de Paris – André Claveau
Pour aller à Suresnes ou bien à Charenton Tout le long de la Seine on passe sous les ponts Pendants le jour, suivant son cours Tout Paris en bateau défile, L' cœur plein d'entrain, ça va, ça vient, Mais l' soir lorsque tout dort tranquille....... Sous les ponts de Paris, lorsque descend la nuit, Tout's sort's de gueux se faufil'nt en cachette Et sont heureux de trouver une couchette, Hôtel du courant d'air, où l'on ne paie pas cher, L'parfum et l'eau c'est pour rien mon marquis Sous les ponts de Paris. A la sortie d' l'usine, Julot rencontre Nini Ça va t'y la rouquine, c'est la fête aujourd'hui. Prends ce bouquet, quelqu's brins d' muguet C'est peu mais c'est tout' ma fortune, Viens avec moi; j' connais l'endroit Où l'on n' craint même pas l'clair de lune.
Sous les ponts de Paris, lorsque descend la nuit Comme il n'a pas de quoi s' payer une chambrette, Un couple heureux vient s'aimer en cachette, Et les yeux dans les yeux faisant des rêves bleus, Julot partage les baisers de Nini Sous les ponts de Paris. Rongée par la misère, chassée de son logis, L'on voit un' pauvre mère avec ses trois petits. Sur leur chemin, sans feu ni pain Ils subiront leur sort atroce. Bientôt la nuit la maman dit Enfin ils vont dormir mes gosses. Sous les ponts de Paris, lorsque descend la nuit Viennent dormir là tout près de la Seine Dans leur sommeil ils oublieront leur peine Si l'on aidait un peu, tous les vrais miséreux Plus de suicid's ni de crim's dans la nuit
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Tous les garçons et les filles – Françoise Hardy
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Willkommen, Bienvenue, Welcome – Cabaret
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